L’opération est pensée en fonction de son environnement proche, respectant l’architecture en place sur le Boulevard Voltaire, le volume des bâtiments environnants et notamment de l’immeuble mitoyen.

Le collectif s’adosse au bâtiment mitoyen en affirmant une architecture propre, une architecture fragmentée verticalement à l’image de la ville qui se développe par vagues de constructions successives.

La circulation verticale de l’immeuble, véritable tableau urbain suspendu est constituée de Béton gommé blanc marquant ainsi son caractère propre et son échelle particulière.

La « troisième villa » est entièrement bardée d’Anthrazinc qui s’affirme, en toiture et en bardage comme un ruban autour du volume simple de l’édifice. Ce bandeau s’affirme également sur le pignon libre à l’ouest soulignant ainsi la silhouette générale de l’immeuble.

L’édifice s’ouvre de manière plus généreuse sur la façade Sud, de larges ouvertures viennent creuser la façade constituant ainsi de larges terrasses ensoleillées pour les appartements.